Sans fil mais non sans risques : téléphoner avec un téléphone sans fil d’intérieur
Adapté d’après un article de Martin H. Virnich, Ingénieur en Biologie de la Construction(*)(Baubiologie 1/99 pp. 25- 28) (*) Dürerstrasse, 30, D-41063 Mönchengladbach RFA (Fax : 00-49-2161-89 87 53).
En catimini, les téléphones digitaux sans fil (ou téléphones sans fil au son numérique) prennent place dans les maisons et les bureaux. Compte tenu de leur étroite parenté technique, ils présentent les mêmes risques biologiques que les systèmes de téléphones cellulaires en réseaux internationaux (réseaux D et E en Allemagne, Natels D et E en Suisse, GSM 900 MHz et 1800 MHz en France et en Belgique). C’est pourquoi il convient de jeter un regard critique sur ces types d’appareils.
Depuis leur introduction sur le marché, les systèmes digitaux de téléphonie mobile en 900 MHz et en 1800 MHz ont suscité des controverses sociologiques parmi le monde scientifique et dans les média en ce qui concerne leurs effets sur la santé. Les téléphones cellulaires sont actuellement bien présents parmi le public, et les centaines de stations de base nécessaires au fonctionnement des réseaux se remarquent partout : des antennes sur des pylônes en acier, sur des cheminées d’usines désaffectées, sur de hauts bâtiments, ainsi qu’au milieu de zones d’habitat, sur des châteaux d’eau et même sur des clochers d’églises.
Mais, par contre, ce que le public a à peine remarqué, c’est que des téléphones digitaux sans fil (téléphones mobiles d’intérieur) sont entrés triomphalement dans les maisons et les bureaux. Leur utilité semble aller de soi. Les techniques de digitalisation appliquées permettent de proposer aux utilisateurs une écoute “particulièrement confortable”. Leur prix d’achat diminue constamment, ce qui est apprécié des acquéreurs. Les risques pour la santé sont généralement moins bien connus lors de l’achat.Qui pensera établir une quelconque relation entre l’apparition soudaine “inexplicable” de troubles du sommeil, de maux de tête, de bourdonnements ou de sifflements d’oreilles ou d’autres symptômes et l’acquisition d’un téléphone sans fil DECT ? Grâce à des appareils actuellement disponibles sur le marché, il est possible de détecter les signaux d’un téléphone sans fil DECT présent dans sa propre habitation ou dans le voisinage proche. On peut se rendre compte de la réalité de la nuisance potentielle si après avoir déconnecté le téléphone sans fil soupçonné, du réseau électrique, les symptômes disparaissent.
Ce qui est particulièrement insidieux, c’est que ces téléphones DECT ont progressivement remplacé une autre version des téléphones sans fil qui était utilisée depuis bien des années. Il s’agissait de téléphones sans fil d’habitation fonctionnant selon un système analogique (donc non digitalisé) et en ondes courtes (dans la bande de 27 MHz ou de 41 MHz). Certains de ces téléphones analogiques de fonctionnement très simple sont robustes et sont toujours en fonction aujourd’hui. Ils se reconnaissent à leur antenne télescopique assez longue aussi bien sur la station de base que sur le poste téléphonique mobile (de 50 à 70 cm), souvent chromée (les DECT ont une antenne extrêmement petite, parfois non apparente sur le poste mobile). Le seul inconvénient de ces premiers téléphones sans fil résidait dans le fait qu’ils pouvaient être “piratés” de l’extérieur. Le secret des communications n’était donc nullement garanti et à partir d’un poste mobile extérieur à la maison, des personnes peu scrupuleuses pouvaient utiliser la ligne d’un abonné pourvu d’un tel téléphone aux frais de cet abonné. Bien entendu, pour que ce piratage soit possible, il fallait que le poste téléphonique à pirater soit séparé de sa station de base (décroché) et que son canal de fonctionnement soit identifié par le pirate (20 canaux possibles).
La grande vogue des DECT
Le nombre de téléphones DECT parmi la totalité des téléphones d’intérieur sans fil atteint aujourd’hui environ 75 % en Allemagne et tend à croître encore. Au contraire, les téléphones sans fil appliquant l’ancienne technique analogique tendent à disparaître.
Les téléphones sans fil constituent un article de grande consommation, soigné et coûteux dans sa conception. Le vendeur conseille naturellement le meilleur appareil et le plus moderne: excellente qualité du son, confort élevé, avec possibilité d’utiliser jusqu’à 8 appareils en réseau, avec un vaste rayon d’action, avec directives d’utilisation programmées par menu en sept langues, avec touche macro et touche nominative individuelle, avec affichage digital d’utilisation facile et des fonctions muliples. En somme, un appareil téléphonique sans fil digital moderne issu des dernières technologies aux normes DECT. L’acheteur a tendance à croire que le vendeur doit bien savoir ce qui est bon !
Ce que les vendeurs de ces appareils ne disent pas,- ce que l’on ne leur a probablement pas dit non plus et qu’ils ne souhaitent peut-être pas non plus savoir-, c’est que ces téléphoners sans fil DECT avec leur technique très performante peuvent exercer les mêmes effets biologiques sur l’organisme humain que leurs grands frères les téléphones mobiles cellulaires. Ces derniers fonctionnent selon les normes techniques GSM (Global System for Mobile Communication) alors que les téléphones sans fil digitaux répondent aux normes DECT (Digital Enhanced Cordless Telecommunications) ou téléphones sans fil au son numérique. Avec la mise en oeuvre du système GAP (Generic Access Profile) on a pu obtenir que les composants d’un système, donc les téléphones mobiles et les stations de base, ne puissent pas communiquer avec un autre système, ceci afin d’assurer le secret des communications au sein d’un système donné.
Les grands réseaux de systèmes de téléphonie mobile GSM et les appareils plus restreints DECT appartiennent au même principe fondamental de fonctionnement: une transmission digitale avec un rayonnement en impulsions périodiques. Et, ce rayonnement d’impulsions périodiques fait précisément l’objet des critiques adressées depuis longtemps aux téléphones mobiles GSM !
L’action des impulsions
Les rayonnements pulsés périodiquement en 217 Hz constituent un élément caractéristique des systèmes actuels de téléphonie mobile GSM. On leur doit une grande part des performances techniques des téléphones digitaux. Différentes recherches menées depuis des années ont montré que ces rayonnements pulsés, comparativement aux rayonnements non pulsés, présentent un risque biologique particulier. Ainsi, des chercheurs de la Clinique Universitaire de Lübeck (RFA) ont observé il y a plusieurs années, des modifications des courants électriques du cerveau sur électroencéphalographie (EEG) chez des personnes soumises à l’influence de ces ondes à hautes fréquences pulsées en périodes, alors que ces modifications n’apparaissaient pas chez des personnes soumises à des rayonnements non pulsés. L’influence de ces fréquences pulsées sur les phases du sommeil et de rêves de personnes ont été établies à l’Université de Mainz (Mayence) RFA. Une équipe de recherche australienne a publié en 1997 les résultats d’une expérimentation animale, dans laquelle apparaissaient des lymphomes (cancers du système lymphatique) sur des souris transgéniques exposées à des rayonnements semblables à ceux de téléphones portables GSM. Cette expérience est citée dans un rapport des Télécom australiens comme ayant démontré la non activité des rayonnements pulsés ! Et une étude publiée tout récemment par le Bureau Fédéral de Berlin de l’Institut de Protection et de Médecine du Travail (BAUA) a encore mis en doute l’influence des téléphones mobiles sur les courants du cerveau, mesurables sur les électroencéphalogrammes , bien qu’elle soit bien connue déjà depuis plusieurs années. L’industrie et les opérateurs de téléphonie mobile mettent régulièrement en doute les particularités observées sur les électroencéphalogrammes dans les rapports de recherches publiés. L’étude du BAUA de Berlin se justifie en indiquant que les modifications des EEG ne se manifestent pas en des points quelconques du cerveau mais dans des zones déterminées, et particulièrement dans la zone droite du vertex et dans la zone occipitale. Ce qui ne peut être mesuré en d’autres points n’indique aucune particularité et la conclusion du BAUA est donc “Aucun effet établi !”.
Malgré tous les résultats de recherches préoccupants, mettant en évidence l’implication des radiations pulsées de micro-ondes émises en salves périodiques par les systèmes GSM et DECT, les milieux officiels s’obstinent à les estimer sans risques sous prétexte qu’ils ne dépassent pas les valeurs limites en vigueur. Or ces valeurs limites sont uniquement basées sur les effets thermiques (échauffement) des radiations à hautes fréquences; les effets sur les systèmes extrêmement sensibles de régulation de l’organisme humain (comme par exemple le système nerveux, le système hormonal, le système immunitaire, les communications intercellulaires) ne sont pas du tout pris en considération ici. L’Organisation Mondiale de la Santé et l’Union Européenne investissent des millions d’Euros dans des projets de recherche afin d’obtenir des informations rapides concernant les effets biologiques des téléphones mobiles digitaux (numériques), alors que pendant ce temps, dans le monde, plus de 100 millions de téléphones mobiles sont déjà utilisés.
Les DECT, la présentation en miniature des téléphones cellulaires pour la maison et le bureau
Maintenant, les téléphones sans fil fonctionnant selon le système de normes DECT sont de très proches parents des téléphones cellulaires GSM. Il existe également pour les DECT une station relais qui est constamment en liaison avec le réseau de téléphonie et avec tous les téléphones sans fil fonctionnant par émissions réceptions radio autour de cette station relais. Cette liaison radio DECT fonctionne avec des trains d’ondes pulsées – non plus en 217 Hz comme pour les réseaux GSM de téléphones cellulaires, mais en 100 Hz, ce qui induit les mêmes effets biologiques. Lors de relevés de mesures dans des lieux de séjour et dans des bureaux, on peut constater que les densités de puissance des rayonnements des stations relais intérieures DECT peuvent se situer nettement au delà de celles émanant d’antennes relais de GSM se trouvant en dehors de l’habitation. Il n’y a pas de miracle, la source d’irradiation se trouve directement dans la maison. Dans l’habitation les microondes pulsées DECT se répandent à d’étonnamment grandes distances; les parois des pièces ne présentent un obstacle à leur propagation que sous certaines conditions.
Et, ce que peu de gens savent, c’est que les stations relais intérieures de DECT émettent constamment, que le téléphone sans fil soit utilisé ou non. Elles doivent être prêtes à fonctionner en permanence et envoient donc constamment leur signal pulsé, jour et nuit, même lorsque l’habitant de la maison ne souhaite pas téléphoner. L’intensité des impulsions des téléphones sans fil DECT est 250 milliwatt (250 mW) et est constante, c’est à dire respectivement le quart ou le huitième de l’intensité maximale d’émission d’un téléphone GSM 1800 Mégahertz ou d’un GSM 900 MHz. Mais, les téléphones cellulaires GSM sont prévus pour adapter leur niveau d’émission non à la plus forte intensité possible, mais aux conditions de transmission du moment, c’est à dire au minimum nécessaire. Lorsque la liaison avec l’antenne relais est optimale, l’émission peut descendre en dessous de 250 mW. Chez le petit frère DECT, on peut ainsi atteindre dans l’habitation des niveaux d’intensité d’émission supérieurs à ceux d’un téléphone cellulaire GSM et ce, jour et nuit.
Pour les installations professionnelles, existent sur le marché des systèmes DECT qui assurent la distribution sur toute une aire d’un étage de bureau. Ces systèmes sont pilotés par une unité centrale qui peut gérer plus de cent postes téléphoniques mobiles. Ils ne se limitent pas à la transmission par radio sans fil des conversations, mais ils permettent également le système de communication WPBX (Wireless Private Branch Exchange) grâce auquel est possible l’utilisation par téléphonie mobile de
- Fax, E-Mail, File-transfer,
- Services porteurs ISDN (Integrated Services Digital Network),
- Services de données sur colis
- Internet et passages pour éviter des encombrements.
Le but est de passer sur systèmes Multimedia. Tout cela fonctionne en systèmes numériques (digitaux) et pulsés.
Impulsions DECT : 100 “flash-radio” par seconde
La condition d’application de signaux pulsés est la technique digitale (numérique) qui n’est pas conciliable avec la technique analogique antérieure. C’est pourquoi le développement de la technique digitale avec des rayonnements pulsés s’est introduit rapidement en télécommunications. Les pulsations en salves présentent dans des systèmes faisant intervenir plusieurs correspondants radio, comme c’est le cas pour les téléphones cellulaires et les communications sans fil, un nombre appréciable d’avantages techniques et économiques. Il est possible de se représenter les impulsions qu’un appareil DECT émet 100 fois par seconde (100 Hz) comme des “flash-radio”. Dans ces éclairs est comprimée l’information codée à transmettre.
Par analogie, on peut comparer ces ondes radio avec des ondes lumineuses ; ainsi, un téléphone sans fil analogique (ancien système) correspond à une lampe à incandescence allumée. Le rayonnement en salves d’impulsions d’un système digital correspond au scintillement d’éclairs d’un stroboscope.
Dans le concept d’une activité purement thermique, comme celle sur laquelle s’appuient les déterminations officielles de valeurs limites, il n’existe dans les deux cas qu’un effet de puissance correspondant à 10 mW. Les puissances de crête n’atteignent que 20 mW dans les rayonnements analogiques continus; par contre, dans les rayonnements pulsés des DECT, ces puissances atteignent 250 mW. “Si votre partenaire caresse constamment votre joue ou si vous tenez votre téléphone sans fil à une distance normale de votre oreille, vous aurez la même sensation de chaleur!” (Prof. Käs, Ecole Supérieure de l’Armée Allemande, Neubiberg). Mais il ne s’agit toujours là que de chaleur !
L’alternative : le téléphone à fil ou le système CT1+
Comme mentionné ci-avant, le rayonnement non pulsé est l’alternative non suspecte sur le plan biologique. Les systèmes sans fil fonctionnant selon un mode analogique sont en conformité avec la norme CT1+. Si l’utilisation d’un téléphone sans fil s’avère indispensable, il faut sans hésiter choisir l’alternative de l’ancien système analogique, non suspect d’activité biologique néfaste.
Les téléphones sans fil analogiques n’émettent aucun rayonnement pulsé et ils n’ont que 20 mW de puissance de crête, et cela uniquement lorsque c’est nécessaire c’est à dire uniquement lorsqu’on téléphone. On rencontre certains problèmes pour se procurer des téléphones sans fil analogiques dans le commerce. Il faut insister et être vigilant, surtout lorsque le vendeur tente de vous persuader de préférer un DECT.
Comment savoir si le téléphone sans fil que l’on est sur le point d’acheter est bien un CT1+ et non un DECT ? Si l’on remarque l’indication “ DECT” sur l’emballage, sur le boîtier ou sue la notice d’utilisation, il est clair qu’il s’agit d’un appareil DECT.
Fig. Comparaison entre le mode d’émission d’un système DECT et d’un système CT1+.
Mais il faut être prudent, ce n’est pas parce qu’un appareil sans fil est DECT que cela est mentionné sur le boîtier ou sur la notice. Comment peut-on dans ce cas voir si l’appareil téléphonique sans fil que l’on possède est un DECT ou non ? Par exemple, si des données techniques sont fournies, on aperçoit l’indication des plages de fréquences : 1800-1900 MHz (ou 1,8-1,9 GHz). Parfois aussi, des remarques spécifiques concernant les performances figurent sur la notice comme :
- un grand nombre de postes mobiles peuvent être desservis par une station de base (en général 6 ou 8). Possibilité de conversation de poste mobile à poste mobile.
- élargissement à la possibilité de converser avec d’autres postes mobiles.
- protection du secret des conversations (cryptage).
- qualité de son particulièrement bonne.
En cas de doute, un spécialiste des mesures pourra fournir l’information correcte.
Normes techniques des téléphones sans fil d’habitation ou de bureau
Ancien système (27 MHz) | Analogique non pulsé La station de base n’émet que lorsqu’on téléphone Puissance effective 10 mW; Puissance de crête 20 mW Fréquences porteuses 26-28 Mhz et/ou 41- 42 MHz |
CT1+ | Analogique non pulsé La station de base n’émet que lorsqu’on téléphone Puissance effective 10 mW; Puissance de crête 20 mW Fréquences porteuses 885-887 MHz et 930-932 MHz |
CT2 | Digital (numérique) pulsé à 500 Hz La station de base n’émet que lorsqu’on téléphone Puissance effective 10 mW; Puissance de crête 20 mW Fréquences porteuses 864-868 MHz |
DECT / GAP | Digital (numérique) pulsé à 100 Hz La station de base émet en permanence Puissance effective 10 mW; Puissance de crête 250 mW Fréquences porteuses 1880-1900 Mhz |
En dehors des systèmes DECT et CT1+, il existe encore d’autres systèmes de téléphones sans fil domestiques, mais ceux-ci ne sont guère représentés sur le marché européen (CT2) à cause de la grande vogue des DECT. Les systèmes CT2 fonctionnent également en émissions digitales en trains d’ondes pulsées à 500 Hz; les stations de base n’émettent que lorsqu’on téléphone.
Mais il faut insister sur le fait que même si l’on utilise un téléphone sans fil CT1+ ou n’importe quel autre téléphone sans fil, il faut rendre les conversations aussi brèves que possible. Si l’on doit converser pendant un temps assez long, il faut toujours préférer le téléphone classique à fil.
Et, de toute manière, il est souhaitable de ne jamais laisser une station de base ni un transformateur de charge à proximité d’un lit, car le transformateur émet de puissants champs magnétiques à extrêmement basses fréquences (ELF) !
Oui, il existe encore sur le marché des téléphones sans fil analogiques!
Certains vendeurs de téléphones soutiennent la main sur le coeur que les téléphones sans fil analogiques n’existent plus sur le marché. Il faut sans hésiter leur répondre que leur affirmation est fausse et qu’elle répond à des critères de marketing ignorant tout des risques en matière de santé des utilisateurs. Nous avons donc décidé de communiquer la liste des marques et types de téléphones analogiques existant en septembre 2000 sur le marché. Il suffit donc de les commander pour les obtenir ! Il est nécessaire de bien vérifier que le téléphone reçu correspond à la commande et n’est pas un DECT camouflé !
Nous donnons également à titre d’information des marques d’appareils analogiques ayant existé sur le marché il y a quelques années. Ceci permet aux personnes détenant encore ces types d’appareils de les identifier et de les remettre en état (en remplaçant parfois simplement la batterie cadmium/nickel du poste mobile).
Anciens téléphones sans fil n’existant parfois plus sur le marché (27 MHz et 41 MHz)
Marque | Type |
CASIO | 2600 (26 MHz – 41 MHz) (*) |
COMO | B 888 (27 MHz) |
CRESTA | 9003 N (27 MHz) |
Z-Phone | Z-128 (27 MHz) |
WEBCOR | ZIP (27 MHz) |
(*) Cet appareil existe dans les magasins Auchan (a été en promotion en octobre 1999)
Téléphones sans fil analogiques CT1+ toujours disponibles sur le marché.
Marque | Type d’appareil | Répondeur intégré |
Audioline | CDL 910G | |
Audioline | CDL 970G | |
Audioline | CDL 997G | |
Audioline | CDL 980G | Oui |
Bosch | CT-COM 157 | |
Commodore | 150 CT b | |
Commodore | 200 CT | |
Commodore | 250 CTA | Oui |
Commodore | CT 300 | |
Daewoo | DWP 5000 (S) | |
De Te We | Twinny Plus | |
Grundig | CP-500 | |
Grundig | CP-510 AM | Oui |
MBO | Alpha 1800 CTA | |
MBO | Alpha 1400 CT | |
MBO | Alpha 1650 CT | |
Medion | MD 9970 | |
Olympia | Eurostar Harmony | |
Olympia | Eurostar Travel | |
Olympia | Melody (Deluxe) | |
Olympia | Mira Plus | |
Olympia | Mira Voice | Oui |
Palladium | 832 / 823 | |
Palladium | CT-962 Sarah II | Oui |
Schneider | SST 800 | |
Schneider | SST 815 | |
Schneider | SST 820 A/B | Oui |
Telesys | Max | |
Telesys | TS-6060 | Oui |
Uher | CT 1 Concept | |
Universum | SL 11 |
N.B. Il existe chez Philips l’appareil Aloris analogique, mais une version modifiée de ce type consiste dans le fait que la station de base émet une courte impulsion toutes les deux secondes. Nous pensons donc qu’une éventuelle possibilité de confusion existe et nous préférons ne pas reprendre le Philips Aloris dans la classification.